Jeudi ennui
Quatre tours et on change. Une soirée d’automne, beaucoup de soleil et un vent frais qui pique mais on s’en fout. Quatre tours sans les mains et on repart vers d’autres trottoirs défoncés, d’autres nids de poule, touffes d’herbe et plots de béton entre lesquels slalomer. Autour, le monde n’existe pas, il n’y a que l’ennui. Puis on revient. Quatre tours en on change.

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